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Comment le coaching peut changer le monde

Aujourd’hui plus encore qu’hier, la volatilité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté qui mènent le monde rendent nécessaire de changer de paradigme, de poser un regard nouveau sur nos environnements.

La course au bonheur individuel a permis de connaitre une liberté personnelle, le droit de se sentir vivant, libre de façonner sa vie. Pour autant, c’est en rencontrant l’extrême de cette expérience qu’on en découvre le prix à payer, celui de la solitude et de l’isolement et à plus grande échelle la « rupture du lien social »

De nombreuses initiatives, qu’elles soient managériales ou citoyennes, montrent à quel point la recherche de sens, le besoin de se relier, le Bien Commun deviennent essentiels pour accompagner les transitions sociétales et réenchanter le « vivre ensemble ».

La plus grande force du coaching est de pouvoir garantir un processus qui respecte la personne (sans intrusion ou pression du coach) de manière inspirante. Parce que le processus contient par son cadre sécurisant, l’angoisse psychique potentielle de chacun face à l’avenir, il consolide et offre une bulle de liberté pour réfléchir, ressentir, prendre une distance critique nécessaire, mettre en perspective diverses composantes, élaborer une pensée, oser une percée, développer d’autres formes d’intelligences, spécifiquement dans un esprit systémique solidaire. En ce sens, il est un processus modélisant qui relie conscience, éthique et acceptation de l’altérité ; un système de gestes inspirant et transposable.


Cette réflexivité que permet le coaching transforme chacun en acteur autonome et engagé au service du changement de son éco système et plus largement de la mutation de notre société.

La parité est l’un des apports majeurs que le coaching a offert en proposant un espace d’exploration, d’innovation et de création d’autonomie dans lequel il est possible d’élaborer, à partir d’intuitions et d’émotions aux fonctions inspirantes, « une pensée propre », une pensée autonome, personnelle, nettoyée de quelques loyautés invisibles, pour trouver des options d’actions face à des situations inédites.


Aujourd’hui plus encore qu’hier, nous avons, ensemble, à relever le défi de la coopération systémique collective à grande échelle. Après avoir testé les limites d’un lien social trop normatif puis trop individualiste vient le temps d’une recherche d’équilibre dans les relations solidaires pour inventer concrètement un avenir désirable.